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Écrit par le 2 septembre 2020

Les rencontres de Stéphane au Festival International du Film de Nancy

Mercredi 26 août 2020

Interview de Toni Glamcevski, président du FIFN

Notre correspondant Stéphane Godet, passionné d’art et de culture, et notamment de cinéma, a rencontré Toni Glamcevski, président du Festival International du Film de Nancy. Malgré l’épidémie de Covid-19 et avec toutes les autorisations nécessaires, les organisateurs ont tenu à maintenir l’édition 2020, édition qui, comme tous les ans, fera la promotion de films venus des 4 coins du globe et qui pour la plupart ne sont jamais diffusés dans les salles françaises. Cette 26 ème édition aura lieu du 28 août au 6 septembre 2020, avec des projections, des animations et des apéros concerts dans plusieurs endroits de Nancy et même jusqu’au Citéa à Toul, où les organisateurs s’appliquent depuis quelques années à proposer des séances gratuites. Infos et programme > Site du FIFN 2020

Photo cédée pour l’affiche : David Stewart


Interview de Nicolas Graux, réalisateur du documentaire « Century of Smoke »

« Jeune père de famille, Laosan passe ses journées à fumer l’opium. Pour sa communauté, isolée au plus profond de la jungle laotienne, la culture de l’opium est le seul moyen de survie. Mais c’est aussi le poison qui endort les hommes et tue leurs désirs. Pendant un an, Nicolas Graux a flmé les proches de Laosan, scrutant sans juger ces hommes rongés par la précarité de leur situation et la désillusion, ils inhalent ce poison autant qu’ils l’exportent. Les femmes travaillent dur dans les champs pendant que le mari s’enivre jusqu’à être déconnecté de toute réalité. » Source : fifnl.com


Interview de Hugo Salvaire, réalisateur du film « Ce qui reste »

« Le film Ce qui reste, réalisé par Hugo Salvaire dans le cadre de ses études à l’IAD, jette un regard particulier sur ce qui nous éloigne et nous attache aux proches en souffrance. Le film nous plonge dans les heurts créés par l’absence d’un fils. Après plusieurs années, Henri, le frère de Lola, revient rendre visite à sa mère à la clinique. Comment affronter la maladie d’un proche ? Comment recréer les liens après une longue absence ? » Source : cinergie.be


Interview de Dominique Caubet, réalisatrice du documentaire « Dima Punk »

« Stof a choisi d’être un punk à Casablanca et de garder sa crête envers et contre tout. Nous l’avons suivi pendant huit ans, de concerts en petits boulots. Il paie son indépendance au prix fort lorsqu’il se retrouve arrêté et incarcéré pendant onze mois. Restera-t-il Dima Punk, punk toujours ? Stof a choisi d’être un punk à Casablanca et de garder sa crête envers et contre tout. Nous l’avons suivi pendant huit ans, de concerts en petits boulots. Il paie son indépendance au prix fort lorsqu’il se retrouve arrêté et incarcéré pendant onze mois. Restera-t-il Dima Punk, punk toujours ? » Une coproduction Lardux Films, Pan Production et 2M


Interview de Luca, bénévole au FIFN et passionné de cinéma

Stéphane a rencontré, à l’issue d’une projection, Luca, un jeune bénévole de 14 ans. Lucas est aussi passionné de cinéma, depuis qu’il est tout petit. A 5 ans il empruntait déjà le caméscope familial pour filmer ses vacances et notamment un « vlog » depuis le camping dont il se souvient encore. Lucas fait parti d’un club de jeunes vidéastes encadrés par la MJC Lorraine et espère pouvoir un jour se professionnaliser dans l’audiovisuel.


Interview de Daniel Ohrem, réalisateur de « F.39 – Nicht näher bezeichnete affektive Störung » (trouble de l’humeur sans précision)

« Le code ICD10 est une classification internationale des diagnostics. ICD10SGBV (la version allemande) est utilisée en Allemagne comme clé pour la spécification des diagnostics, en particulier pour la facturation des caisses maladie. Le code ICD10 pour un diagnostic de trouble de l’humeur non spécifié est F39 » Traduit de noradaniels.de

« Damien doit juste trouver un cadeau pour sa fille et la chercher à l’école. Dur pour un dépressif » Source fifnl.com


Interview de Marine Ottogalli, co-réalisatrice du documentaire « Ayi« 

« Ayi a 50 ans, des yeux rieurs, des cheveux qui lui tombent en bas du dos. Elle vient d’une province rurale de l’est de la Chine et n’a pas le permis de résident qui lui permettrait de travailler légalement à Shanghai. Pourtant, ça fait 20 ans qu’elle cuisine dans la rue, au coeur d’un quartier de Shanghai voué à une destruction imminente. Ayi et les femmes qui l’entourent bataillent pour gagner leur vie et éviter les Chengguan, la police municipale. Le film nous dévoile le chaos d’une cité ultra-moderne qui oeuvre à l’extinction de pratiques jugées insalubres et à l’expulsion d’une population non désirée, incarnée par Ayi. » Source Ana Films


Interview de Hamza Ouni, réalisateur et Kefi Ahamed, producteur du documentaire « El Medestansi / Le Disqualifié« 

« Mehrez est un visage connu à Mohammedia, une petite ville de Tunisie. À 25 ans, il décide de mobiliser la communauté de jeunes sans emploi dont il fait partie par le biais du théâtre. Il se consacre corps et âme à son enseignement, et tandis que sa troupe prend forme et s’agrandit, il est soudainement jeté en prison, et ses projets sont mis à l’arrêt. Réalisé par Hamza Ouni, Le Disqualifé raconte douze années de la vie de Mehrez. Danseur et comédien doué, mais aussi dépendant aux jeux d’argent et aux paris hippiques, Mehrez se débat contre lui-même et contre les contrastes de son pays. » Source FIFN


Interview de Laure Bourdon Zarader, réalisatrice du court-métrage « Personne ne s’aimera jamais comme on s’aime »

« Pauline et Noham s’aiment à la folie. Quand la mère de Pauline lui annonce qu’elles déménagent à Paris, Pauline, incapable de se séparer de Noham, décide de rester vivre dans sa ville natale. Seulement voilà, Pauline n’a que dix ans… » Source Quartett Productions


Interview de Roland Menou, réalisateur du court-métrage « Amor Maman »‘

« Roland a quarante ans. Solitaire et un peu lunaire, il pense découvrir un matin qu’il est le fils caché d’Arielle Dombasle. Il décide d’aller à la rencontre de sa mère qui va le rejeter, le fuir, puis peu à peu s’attacher à lui. »


Interview de Gilles Weinzaepflen, réalisateur du documentaire « Le Liséré Vert »

« Une frontière matérialisée par 4056 bornes, posées sur notre territoire après la défaite de 1870. Elles marquent la limite des provinces perdues de l’Alsace-Lorraine. Ces bornes forment aujourd’hui une cicatrice intérieure, un no man’s land de la mémoire que j’arpente. Que me disent-elles de mon histoire ? Des relations de voisinage franco-allemandes ? De notre horizon commun, l’Europe ? Suivre le bornage sur la crête des Vosges puis dans le bassin lorrain, à la rencontre des paysages et des habitants. Bâtir un itinéraire de pensée, pour offrir une visibilité et un statut à cette frontière oubliée, en faire un monument. » Source film-documentaire.fr


Interview de Florent Gouëlou, réalisateur du court-métrage « Beauty Boys »

« À dix-sept ans, dans leur petit village, Léo et ses amis se passionnent pour le maquillage. Cette passion n’est pas au goût de Jules, le grand frère de Léo, qui craint d’être la risée de sa bande de potes. Le soir de la scène ouverte du village, contre l’avis de son frère, Léo monte sur scène habillé en drag-queen. » Source Unifrance


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