Forum des associations et de l’engagement

20 associations ont répondu à notre sollicitation et ont pris la parole dans cette émission. Un mot revient souvent : celui d’échange.

… et de l’engagement !

C’est Alde Harmand, maire de Toul qui ouvre l’émission. Il nous explique pourquoi le forum des associations toulois est aussi celui de l’engagement. On parle environnement, budget, infrastructures, et aussi conviction que la densité du tissu associatif toulois peut contribuer à combattre repli sur soi, complotismes, et autres discriminations.

Motivés

Nous avons ensuite reçu les associations par groupes de 4 ou 5. La consigne était de se présenter, de présenter rapidement l’association, ce qu’elle proposait, où on pouvait la rencontrer, les difficultés auxquelles elle faisait face, les motifs de satisfaction de celle ou celui qui la représentait…
Les groupes étaient composés aléatoirement, des associations sportives côtoyant des compagnies théâtrales ou des organisations à caractère social. Dans tous les cas, c’est le mot d’échange qui est revenu le plus souvent. Et l’idée aussi que le champs des destinataires des actions menées n’avait pas d’exclusive. Ou encore que le bénévolat devait se soucier de transmission pour assurer la pérennité de l’association.

Vincent

Par ordre d’apparition sonore :
4′. Alde Harmand, maire de Toul
14′. Unité locale de la Croix rouge, Randonnées touloises, Sapeurs pompiers de Toul, Patinage artistique
40’50 ». Krav-maga, France Alzheimer, Emplettes et cagettes, Toul cyclo
1:04′. Billard club toulois, Badminton, Compagie du Héron, Amnesty International, JOC
1:30′. Tota Compania, UFC Que Choisir, US Toul athlétisme, Scouts et Guides de France, Odyssée touloise

NB : Quelques petits soucis techniques lors de brefs moments au cours de l’enregistrement.
Merci de bien vouloir nous excuser.

Illustrations sonores :
Just Call me (Milk & Green)
Saine égalité (No Water please)
La vie d’ici bas (André Minvielle)
Au cabaret des illusions perdues (Castafiore Bazooka)
Les enfants d’ là-bas (Pierre Perret)
Etat des lieux (Bernard Lavilliers)